Le décret de l'Union Européenne statuant sur le non-respect de la libre-concurrence en matière d'énergie par la France initia, notamment, la loi NOME (loi 2017-1488du 7 décembre 2010).
Portant sur l'organisation du marché de l'électricité, cette loi fut, entre autres conséquences, à l'initiative de la disparition progressive des tarifs réglementés de vente (TRV).
Ce sont les 31 décembre 2015, 31 décembre 2016, 30 novembre 2020, 31 décembre 2020 et 30 juin 2023, qui marquent les plus significatives « révolutions » dans le marché de l'énergie, avec la fin des tarifs réglementés de l'ensemble jaunes-verts en électricité, des tarifs bleus pour les entités embauchant plus de 9 salariés ou réalisant plus de 2 millions d'euros de chiffre d'affaires ou de recettes et du gaz naturel pour l'ensemble des professionnels. Ces disparitions impactent fortement les professionnels et les acheteurs publics en leur imposant de s'adapter au nouvel impératif des marchés : la renégociation de leurs contrats d'énergie.
Cette ouverture massive à la concurrence s'est traduite par l'arrivée de nombreux fournisseurs sur le marché dont les prospections et les pratiques commerciales, pour certains, furent respectivement qualifiés d'abusives et de « mauvaises » par la CRE (Commission de Régulation de l'Énergie).
Motivée par une volonté de protection des consommateurs publics, connaissant les pièges à éviter, dotée d'un relationnel de confiance établi avec de nombreux fournisseurs et armée de solides connaissances en matière de commande publique, newenergy se positionne en qualité en qualité d'Assistant à Maîtrise d'Ouvrage (AMO) pour les collectivités territoriales et acheteurs publics depuis l'ouverture du marché.